Présidentielle au Sénégal : Campagne électorale intense à Dakar

Auteur: Stéphane | Publié: 18 Mars 2024, 22:00
Présidentielle au Sénégal : Campagne électorale intense à Dakar

Présidentielle au Sénégal : Campagne électorale intense à Dakar

Alors que le Sénégal se prépare pour les élections présidentielles, la ville de Dakar vit au rythme effréné de la campagne électorale. Les différents candidats rivalisent d'efforts pour convaincre les votants de leur pertinence et de leur expérience.

Un des candidats, dont la candidature est soutenue par une coalition, mise sur la qualité de son discours, la force de ses argumentaires et sa connaissance approfondie du pays. Il se démarque également en invitant les autres candidats à partager le repas du soir pendant le mois de jeûne du ramadan, envoyant ainsi un signal fort aux électeurs sénégalais.

Dans un pays où la mauvaise gestion des ressources a été dénoncée à maintes reprises, ce candidat met en avant son expérience et sa volonté de transformer le pays en un pays développé. Sa campagne s'appuie sur le bilan positif qu'il a déjà établi depuis 2012 et sur sa réputation d'intégrité.

Pensez-vous que la décision du Conseil constitutionnel de fixer la date du premier tour de l'élection présidentielle au 24 mars est juste ?


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Malgré la concurrence et les différentes coalitions en lice, ce candidat aspire à être élu grâce à sa responsabilité et à sa capacité à diriger un pays aussi sérieux que le Sénégal. Il appelle les électeurs à voter de manière responsable et à ne pas confier le pays à quelqu'un qui n'a jamais dirigé plus de 10 personnes.

La campagne électorale continue de battre son plein et les différents candidats se préparent à affronter les élections avec confiance et détermination. Ils espèrent que leurs efforts porteront leurs fruits et qu'ils pourront contribuer à la transformation du Sénégal pour le bien de tous les Sénégalais.

Un nouveau coup de théâtre dans la crise politique au Sénégal

Le Sénégal est plongé dans une crise politique inédite, marquée par de nombreux retournements de situation. Dans la soirée du mercredi 6 mars, c'est du Conseil constitutionnel que l'annonce la plus importante est venue. La haute juridiction a exigé que le scrutin présidentiel se tienne avant le 2 avril, date à laquelle expire le second mandat du président Macky Sall, au pouvoir depuis 2012.

En réaction à cette décision, le gouvernement a été dissous afin de permettre au premier ministre et candidat du camp au pouvoir, Amadou Ba, de se consacrer pleinement à sa campagne électorale. Un nouveau gouvernement a été formé, et la date du premier tour de l'élection a été fixée au 24 mars, bien que le Conseil constitutionnel ait proposé la date du 31 mars. Cette accélération brutale du calendrier a provoqué de vives réactions.

Une lecture stricte de la loi par le Conseil constitutionnel

Les membres du Conseil constitutionnel, déjà mis en cause pour corruption lors de la publication de la liste des candidats à la présidentielle, ont une nouvelle fois imposé une lecture stricte de la loi. Ils ont ainsi rejeté toutes les préconisations du dialogue national qui s'était tenu fin février, boycotté par la majorité des candidats à la présidentielle. Le Conseil constitutionnel refuse une élection après le 2 avril et rejette également l'idée d'un intérim assuré par le président après l'expiration de son mandat. De plus, il ne souhaite pas revoir la liste des candidats à l'élection présidentielle.

Cette décision a eu des conséquences importantes, notamment pour Karim Wade, le fils de l'ancien président Abdoulaye Wade, qui espérait réintégrer la course à la magistrature suprême après avoir été éliminé pour avoir renoncé trop tardivement à sa nationalité française.

Cette nouvelle situation politique va donc bouleverser le paysage électoral sénégalais et les différents candidats devront s'adapter à cette accélération du calendrier. Les électeurs sénégalais devront également suivre de près les développements de cette campagne électorale intense afin de faire un choix éclairé lors du scrutin présidentiel.



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