Blocages, vandalisme : les méthodes chocs des éco-activistes
Aujourd'hui, nous vous présentons le témoignage d'Odessa, une activiste écologiste engagée. À 24 ans, elle décide de passer à la résistance civile pour lutter contre le réchauffement climatique. Convaincue que son avenir et celui de sa génération sont en danger, elle rejoint le collectif Dernière Rénovation qui demande la rénovation des passoires thermiques. Ensemble, ils décident de bloquer une route très fréquentée de la capitale pour attirer l'attention sur leur cause.
Face aux automobilistes mécontents, Odessa tente de les sensibiliser en expliquant les conséquences du changement climatique et l'importance de la rénovation thermique des bâtiments. Malgré les réactions violentes de certains, elle reste déterminée à faire entendre sa voix.
Cependant, le blocage ne suffit pas à faire passer leur message. Le collectif Extinction Rébellion, dont fait également partie Odessa, multiplie les actions pour alerter la population sur l'urgence climatique. Ils n'hésitent pas à perturber le quotidien des citoyens en éteignant les publicités lumineuses la nuit ou en aspergeant des tableaux protégés par une vitre de soupe ou de peinture.
Leur objectif est de faire du bruit et de provoquer des réactions pour que l'État prenne enfin des mesures concrètes pour lutter contre le réchauffement climatique. Ils revendiquent également la rénovation thermique de tous les bâtiments pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Odessa et son groupe vont même jusqu'à se faire arrêter par la police lors de leurs actions. Pour eux, la garde à vue fait partie intégrante de leur processus de résistance civile non violente. Ils sont prêts à assumer les conséquences de leurs actes pour faire bouger les choses.
Quiz
Quelle est la cause défendue par le collectif Dernière Rénovation ?
Quelle est l'objectif du collectif Extinction Rébellion ?
Qu'est prête à assumer Odessa pour faire bouger les choses ?
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