Gérard Delépine dénonce les dangers des injections covid et réfute l'utilisation du terme 'vaccin'

Auteur: Léa | Publié: 19 Janvier 2024, 21:00
Gérard Delépine dénonce les dangers des injections covid et réfute l'utilisation du terme 'vaccin'

Gérard Delépine remet Géraldine Maillet en place

Dans une récente émission, Gérard Delépine a vivement réagi aux propos de Géraldine Maillet concernant les personnes opposées aux injections du covid. Il a tout d'abord soutenu que ces injections ne peuvent pas être qualifiées de vaccins au sens strict du terme, car elles ne contiennent pas d'antigènes. Il a souligné que les injections covid sont composées d'ARN et qu'elles ont été uniquement utilisées pour stimuler la vente et l'acceptation de ces produits par la population.

  • Gérard Delépine a repris une définition fidèle de Pasteur selon laquelle un vaccin est composé de germes atténués ou cassés en petits morceaux, contenant des antigènes qui créent une immunité spécifique. Il a souligné que les injections covid ne répondent pas à cette définition car elles ne contiennent aucun antigène.
  • Gérard Delépine a également exprimé son mécontentement quant à l'utilisation du terme 'antivax' pour désigner les personnes opposées aux injections covid. Il a suggéré de les appeler plutôt des 'vaccinos prudents', car il défend la vaccination réelle qui apporte des avantages aux individus. Il a fait remarquer que ces soi-disant injections ont été extrêmement toxiques et n'ont sauvé personne.
  • Il a ensuite évoqué les effets indésirables des injections covid et a souligné que de nombreuses personnes vaccinées ont quand même contracté la maladie. Selon lui, les personnes les plus gravement touchées par le covid sont celles qui ont reçu ces injections. Il a conclu qu'il y a un réel problème avec ces injections covid et qu'il est donc inapproprié de les qualifier de vaccins.

Gérard Delépine a répondu aux critiques de Géraldine Maillet en affirmant qu'il n'a jamais insulté personne et qu'il ne partage pas le même mépris que le professeur Raoult. Il a insisté sur le fait que le débat doit se focaliser sur les faits et a souligné que de nombreuses personnes qui ont posé des questions sur les injections covid ont été ostracisées et exclues. Il a également mentionné l'antisémitisme qui a été observé dans certaines manifestations antipass et a précisé qu'il ne faisait pas d'amalgame entre les opposants aux injections et les antisémites.

Gérard Delépine a dénoncé l'utilisation du terme 'complot' qui a été abordé lors de l'émission et a insisté sur la nécessité de se concentrer sur les faits. Il a rappelé que les injections covid n'ont pas répondu aux attentes et que les personnes vaccinées sont toujours tombées malades. Il a également évoqué la notion de manipulation et a mentionné l'histoire des médecins juifs pendant la Seconde Guerre mondiale pour renforcer son propos.

Campagne de vaccination contre le Covid-19 : ce qu’il faut savoir

Il est toujours fortement recommandé aux personnes à risque de développer des formes graves du Covid-19 de recevoir des rappels, afin de maintenir leur immunité face au virus du Covid-19 à un niveau élevé. En raison de la montée du nombre de cas de Covid-19, la campagne de vaccination commence le 2 octobre 2023. Elle s'adresse également aux personnes non encore vaccinées.

Pensez-vous que les injections covid peuvent être qualifiées de vaccins ?


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Qui est concerné en priorité par la vaccination automnale contre le Covid-19 ?

Selon les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) du 23 février 2023, une campagne de rappel sera organisée à l’automne 2023, sur le modèle de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière et ouverte aux mêmes publics. Il est fortement recommandé aux personnes les plus à risque de forme grave de recevoir une dose de rappel à l’automne afin de maintenir leur immunité face au virus du Covid-19 à un niveau élevé, notamment aux :

  • Personnes âgées de 65 ans et plus.
  • Personnes (nourrissons à partir de 6 mois, enfants, adolescents et adultes) atteintes de comorbidités ayant un risque plus élevé de forme grave de la maladie.
  • Personnes immunodéprimées.
  • Femmes enceintes.
  • Résidents en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et unités de soins de longue durée (USLD).
  • Personnes à très haut risque de forme grave selon chaque situation médicale individuelle et dans le cadre d’une décision partagée avec les équipes soignantes.
  • Personnes vivant dans l’entourage ou en contacts réguliers avec des personnes immunodéprimées ou vulnérables, y compris les professionnels des secteurs sanitaire et médicosocial.

La Haute Autorité de santé recommande également la vaccination et ses rappels à distance de la primovaccination pour :

  • Les étudiants et professionnels des secteurs sanitaire (exerçant en établissement ou libéraux).
  • Les étudiants et professionnels des services de secours et d'incendie (notamment les sapeurs-pompiers professionnels et bénévoles).
  • Les professionnels en contacts réguliers avec des personnes immunodéprimées ou vulnérables.

Important : la dose de rappel n’est plus recommandée pour les personnes non ciblées par les recommandations de rappel décrites ci-dessus. Néanmoins, si une personne n’est pas dans la cible et souhaite recevoir un rappel, elle pourra en bénéficier gratuitement.

La vaccination est prise en charge à 100% pour tous.

Quel schéma vaccinal ?

Pour les personnes âgées de 5 ans et plus, le schéma vaccinal a été simplifié : quel que soit le passé vaccinal du patient, la vaccination consiste désormais en une seule dose de vaccin. Les notions de primovaccination et de rappel ne sont donc plus d'actualité pour ces catégories d'âges.

Chez les enfants de moins de 5 ans, pour ceux déjà primovaccinés ou ayant été infectés, une seule dose suffira mais chez les autres un schéma à trois doses (2 à 21 jours d'écart et la troisième huit semaines après) est maintenu.

Rappel vaccinal dans quel délai après une vaccination contre le Covid ou l'infection par le virus ?

Le délai à respecter après la dernière injection vaccinale ou la dernière infection Covid-19 est de 6 mois minimum, quelle que soit la situation de la personne.

Avec quel vaccin ?

Pour cette vaccination, les vaccins à ARN messager (ARNm), adaptés au variant XXB.1.5 (sous-variant d'Omicron) sont recommandés en première intention, quel que soit le vaccin administré précédemment.

Depuis début septembre 2023, le vaccin à ARN messager monovalent Comirnaty omicron XBB.1.5 de Pfizer/BioNTech est disponible. Ce vaccin a été conçu pour cibler le sous-lignage XBB.1.5 du variant Omicron, qui est le variant circulant majoritaire sur le territoire, mais il reste également efficace sur la souche originale de Wuhan, ainsi que sur les autres variants. Il existe en forme adulte, pédiatrique (5 - 11 ans et 6 mois - 4 ans).

En alternative à ce vaccin à ARNm, pour les personnes qui ne souhaitent pas et celles qui ne peuvent pas en bénéficier (contre-indications), il est possible d’utiliser en rappel des vaccins VidPrevtyn Beta de Sanofi et Nuvaxovid de Novavax. Le vaccin Nuvaxovid adapté à XBB.1.5 de Novavax est attendu pour novembre.

Quels sont les lieux de vaccination ?

Pour les résidents



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